{ Ophélie Stanford.

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Ophélie Olivia Honorée.
Castle Stanford.

« On se demande parfois pourquoi elle ne porte pas un diadème, celle-là ! »

>> Identity Card. {1}

Nom(s) : Castle Stanford.
Prénom(s) : Ophélie Olivia Honorée.
Âge : 16 Ans.
Lieu de naissance : OxfordShire )) Anngleterre.
Date de naissance : 14 Octobre 1991.
Signe Astrologique : Balance.

>> Family. {2}

Nom & Prénom de la mère : Éléonore Calypso Victoria Castle.
Nom & Prénom du père: lord Edward-Dashawn Spencer Stanford.
Vos relations avec eux :
} Éléonore Calypso Victoria Castle.
Mère est une femme que j'admire. Je dois vous avouer qu'entre elle et moi, ce fut jadis chat et chien, mais à présent, nous nous entendons on ne peut plus bien. Austère mais pourtant ô tellement admirable, elle sait rester une femme douce. Elle veille constamment à ma bonne éducation, et elle est l’une des rares mères qui, à ma naissance, ne m’a pas machinalement placé sous la garde d’une nounou. Elle prit soin de moi avec tout l’amour maternel qu’elle put puiser en elle, bien que parfois, elle se dû demander de l’aide aux dames servantes de notre manoir. C’est une femme bien, et j’adore passer un peu de temps avec elle, que ce soit pour discuter de tout et rien, ou encore de mode. Je raffole de faire des photoshoots pour sa compagnie et la conseiller.
} lord Edward-Dashawn Spencer Stanford.
Il est tellement d’une haute importance, que voulez vous. Ce n’est pas comme s’il avait du temps à me vouer. Enfin, c’est compréhensible… N’est-il pas un lord? Les hommes de ce genre n’ont pas de temps pour autre chose que leur irréprochable titre de Noblesse. & celle qui en souffre le plus est bien incontestablement sa magnifique jeune fille aristocratique, autrement dit; Moi. Je parle là de mon père, si ça ne vous avait pas effleuré l’esprit. Enfin, je semble peut-être dure et amère à son égard. Il sait être un bon père, quand il octroie le manoir de son humble présence, comprendre ici; rarement. Je suis par contre consciente que père m’aime plus que tout au monde et je puis même avancer que ma personne passe même avant sa femme. Je suis sa fille après tout, et jamais il ne pourra nier qu’il m’adore on ne peut plus. Laisser moi vous confier un truc : Moi aussi je lui voue une grande admiration et tout l’amour qu’une fille puisse avoir pour son père. Je ne le lui ai jamais dit, mais je suis certaine qu’il le sait tellement.
Leurs Métiers : Mère travaille, de temps à autre, dans l’ingénierie de la mode. Elle fait des dessins, s’occupe de trouver des mannequins pour son agence. Maintenant vous compreniez mieux pourquoi ma photo est souvent placardée dans la ville pour des publicités de mode quelconque… Quand à lui, lord Dashawn, père, travaille beaucoup, mais je ne puis vous affirmer avec exactitude ce qu’il fait de sa vie. Il est un homme riche et d’une autre importance. N’est-ce pas suffisant?
Frère & Soeur ? Je suis, au grand contentement de mes parents, fille unique. Non mais vous aurez vous imaginé un autre moi? Non, Non, impensable! Je suis bien suffisante.

>> My Tastes. {3}

Noir ou Blanc ? Je serais portée à répondre Jaune. Mais bon, allons pour blanc.
Été ou Hiver ? À l'automne, les vastes Jardins du Manoir Stanford sont magnifiques.
Eau ou Alcool ? Je suis folle du Martini Dry. & de toutes sortes de vins rouge, en autant qu'il soit vieux et de qualité. Je ne suis pas contre une coupe de Champagne.
Jour ou Nuit ? Le jour, bien sûr! La nuit je dors, pour qui me prenez-vous là?
Fast Food ou Restaurant ? Je suis une véritable adulatrice de Mizu Shushi, à New York. Je vénère les Restaurents Italien ultrachics.
Vie ou Mort ? Ma vie est parfaite! Pourquoi la mort m'attirerait-elle?
Film Préféré : The Labyrinth.
Chanson Préféré : Prima J - RocStar
Style de musique préféré: J'écoute de tout, ou presque.

Invité

>> My Beautiful Story. {4}

Mon Histoire :
“_Moi, Ophélie Olivia Honorée Castle Stanford, fille Héritière de la fortune des nobles Castle, je me présente. Le 14 Octobre dernier m’a couronné de mes seize ans, âge de la sagesse dirons nous, dans mon ancienne Angleterre, terre natale de ma personne. La question restant pendue aux lèvres de tous reste, sans la moindre dérogation; la jeune femme que je suis puisse-t-elle vraiment s’avérer être d’une sagesse inaccoutumée, telle on me qualifierai. Je puis commodément vous offrir réponse à l’existentialisme de ce lancinant questionnement, sans le moindre détournement. Pour faire abrégé, je ne pourrais que dire, Non, la sagesse ne s’est pas éprise de mon être, loin de là, même. Enfin, vous voyez là que je m’égare du sujet initial de cette courte, mais loquace présentation. Certains oseraient me démontrer telle une authentique adulatrice des propos altiers en tous genres, et une jolie peste aimant se faire discerner par le biais de son aptitude en ce qui concerne les caprices les plus inconcevables. Démentir ces odieux dires seraient chose, ma foi, bien simple, car le mensonge jamais n’a su m’effrayer, et pourtant sur ce coup là je ne mentirai pas; il s’avère que je suis bel et bien une jeune femme à l’attitude on ne peut plus hautaine, pour ne point dire superficielle, et je reconnais sans aumône mon attitude des plus capricieuses. Mais que demandez-vous, lorsqu’on est élevée dans un monde où le prestige, la classe et les étoffes luxueuses font honorablement parties du quotidien, je ne puis que profiter de ce que l’on m’offre avec bienfaisance sur un plateau d’argent. Et ne tenter pas de me persuader qu’en pareil cas, vous ne voudriez pas en bénéficier, je ne pourrais qu’affirmer que vos dires sont mensonges effrontément établis. N’est-ce pas exact que tous, au fond de notre être, peut-être parfois sans même en être conscients, nous aspirons au luxe ? Du moins, ce fut le cas de ma mère, la noble Éléonore Calypso Victoria Castle, quatrième du nom, je tiens à énoncer, qui épousa mon père pour sa somme inconcevable d’argent. Comme quoi l’argent peut faire le bonheur de certains, en dépit de l’opinion d’autres, qui soutiennent que jamais l’argent ne sera en mesure de rendre heureux. En ce qui me concerne, l’argent est bien placé pour faire de ma vie un petit paradis duquel jamais je ne tenterai même de m’échapper. Je me dois par contre de vous avouer, contre mon gré, que mes propos sont légèrement outranciers. Le paradis dans lequel je prétends faire ma vie n’est peut-être pas aussi divin et parfait qu’il l’apparaît. La présence de mon père, l’honorable Edward Dashawn Spencer Stanford, se fit assez rare, je puis même affirmer que ses venues au Manoir Stanford étaient si peu fréquentes qu’il n’entrait que très tardivement la nuit, et aux aurores, déjà son départ était fait. Préciser, dans un cas pareil, que ma relation avec cet homme digne d’une on ne peut plus haute importance fut assez tendue, pour ne point dire; inexistante, n’est pas d’une grande nécessité. Il est évident qu’entretenir une relation harmonieuse avec un individu qui ne fut vue que quelques fois n’est pas tâche évidente, je le conçois. Pourtant, mon père était un homme bien, et remarquable. Le peu de temps que je parvenais à partager avec lui étaient inouïs. C’est d’ailleurs de ce respectable homme que je détiens un amour indescriptible pour les langues. Lui-même peut converser en plus de huit langues, et de façon usuelle, aucune difficulté à l’horizon. Il maîtrise un français on ne peut plus parfait, suite à de nombreux voyages dans la magnifique France, où il a eu le dévouement de me traîner lorsque je fut âgée d’onze ans. J’ai développé un fort attrait pour tout ce qui touche les langues et l‘écriture, ce qui, j’en suis consciente, étonna on ne peut plus la Gouvernante et les domestiques du manoir, qui me connaissait telle une jeune fille ne se préoccupant que de son physique parfait et aristocratique ainsi que de sa garde robe saturée à craquer. Et bien non, je suis satisfaite de toutes les abasourdir. Ma langue maternelle est certes, l’anglais, puis vint le français, que je parle avec une intonation quasi exemplaire, en dépit d’un léger accent qui ne fait que me rendre plus adorable que je ne puis déjà l’être. Il s’avère que je puis m’exprimer également en espagnol, italien, langue que j’affectionne on ne peut plus, et la toute dernière langue que j’appris fut le grec. Je n’excelle pas encore dans le dernier dialecte mentionné, mais je compte bien m’y améliorer. Pourquoi ce si singulier intérêt pour les langues, je sens que c’est l’interrogation qui vous brûle les lèvres? Pourquoi une jeune femme telle que moi peut-elle indubitablement être captivée par ces dialectes différents? C’est ce que je persiste à me demander, et la réponse me reste inopportunément introuvable. Ne trouvez-vous pas que les langues sont, inévitablement, passionnantes? D’ailleurs, ma mère, de qui je suis très proche, m’encourage dans cette passion qui est mienne. Éléonore et moi-même sommes sur un terrain d’entente loin d’être tant houleux que la relation que j’entretiens avec mon père. Tout ce que je suis me fut légué par ma mère. La blondeur de ma chevelure des plus somptueuses est d’ailleurs cadeau d’elle. Elle les eut jadis aussi gracieux et fascinants que les miens. D’une blondeur tel le blé de l’été, démesurément longue, ma pâle chevelure fait tourner les têtes et m’en plaindre ne fait pas partie de mes priorité. Que demander de mieux qu’une jolie blonde? S’étirant en longueur, mes cheveux, retombent en cascades dans mon dos. Ondulés dans une jolie vague naturelle, ma divine chevelure a toujours été exceptionnellement soyeuse et d’une éminente brillance, ce qui, je me permets de l’avouer, ne me déplaît nullement.. Il faut dire que depuis toujours j’ose octroyer une importance hors pair à cet atout que je qualifie aisément de suprême. À les considérer, c’est comme s’ils demandaient d’être touchés et caressés, et l’envie d’y glisser ses doigts s’éprenait souvent des jeunes hommes qui avaient la chance de me côtoyer. Puisque je vous dévoile ainsi les nombreux avantages de mon physique pharamineux, je ne puis poursuivre sans vous faire une monstrueuse et dégradante confidence. Je ne fus pas toujours jolie comme je puis le paraître à ce jour. Enfant j’étais d’une laideur presque fastidieuse, et je ne vous cacherai pas qu’Éléonore en avait honte au plus haut point. Elle me mentait sans scrupule, me couvrant d’éloges et actant comme si j’étais aussi jolie qu’un ange. Combien de fois m’a-t-elle répété effrontément; « Oh, Honey, you’re as pretty as an angel, look at you.. Your smile and those hairs! You look amazing. Just like your mother. » Total mensonge, proposerez-vous? En effet, un mensonge. Qu’est-ce qu’une mère ne ferait pas pour remonter le moral à plat de sa pupille en déprime. Mais si vous avancez que par la suite, la chance ma sourie, vous n’auriez pas tort. Il ne s’agirait que de me regarder pour en avoir la preuve même. Je suis d’une beauté indescriptible, et je l’avoue sans la moindre once de gêne. On pourrait dire que je suis superficielle, et j’approuverais ces dires avec commodité, car je suis perspicace en ce qui concerne mes mimiques prétentieuses. Toujours une lueur de malice et de prétention brille dans mes yeux, yeux d’une magnifique et hors du commun teinte turquoise. D’ailleurs, mes grands yeux ornés de cils démesurément longs et recourbés donnant à mon regard un air doux, mais à la fois pénétrant, mais sans aucun doute, très séduisant, sont le seul trait dont mon père m’a fait héritage. Mentionnant Edward, je n’ai pas pu en parler autant que je l’aurais souhaité. Celui-ci était un homme pour qui le travail était d’une grande importance, et sans être actif dans ce qu’il devait entreprendre, il sombrait dans la déprime. Je ne pourrais vous affirmer avec certitude ce qu’il exerçait dans la vie, car jamais il ne m’en a vraiment parlé. Il préférait avancer que j’étais beaucoup trop jeune pour interpréter et me faire une idée sur ce qui se passait « là-bas ». Je ne sais toujours pas ce qu’il veux dire par là-bas, d’ailleurs. Il ne savait rien de la vie que ma mère et moi partagions au Manoir, mais parfois, Père et moi passions des heures à discuter en Italien, sur les berges du lac noir qui entourait notre noble demeure. Nos nombreuses servantes m’ont un jour confié que la nuit, lorsque Lord Edward Dashawn revenait de ses périples, il ne pouvait s’empêcher de s’arrêter au seuil de la porte de mes vastes appartements, pour m’observer, alors que j’étais envolée dans le merveilleux monde des rêves. Il se plaisait à regarder mes joues rosies se gonfler légèrement, mes lèvres entrouvertes et mon poing constamment refermé, reposant sur le large oreiller duveteux aux étoffes gracieuses de mon lit. Il m’aimait. Je ne le sais que trop. Et je sais qu’il m’adore toujours plus que n’importe quel homme aimant sa fille. Je suis comme la femme de sa vie, son petit trésor. Je me sens choyée d’avoir un père qui tient tant à moi et qui bougerait les étoiles pour voir un sourire naître au coin de mes lèvres. Alors pourquoi m’a-t-il envoyé dans un pensionnat? Pourquoi? Le voila, le lancinant questionnement auquel je tente toujours trouver réponse. Et vous? Sauriez vous offrir réponse à cette tortueuse question? ,,

Ce que je veux faire de mon Avenir ? : Je suis une jeune Héritière. Je ne porte pas le titre de Lady pour rien. Je ne puis avancer que je désire faire quelque chose de mon avenir, car je suis beaucoup trop jeune pour même commencer à y songer sérieusement. Je sais par contre que mère Éléonore adorerait me voir évoluer dans le monde de la mode. Assez intéressant,non?
Avatar : Taylor Momsen.
Année Scolaire : Première

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Description Physique :
“En toute confidentialité, je vais vous avouer que je n’étais pas du tout jolie lorsque j’étais jeune. Une jeunesse peuplée de divers complexes fut ce que je dus subir étant enfant, tout simplement parce je n’étais point belle. Allons, donc, disons donc que je fus laide. Même jeune, je savais voir l’importance du physique, et le fait d’être si laide ne faisait que m’anéantir, sans compter le fait que mère avait honte de mon physique fastidieux. Comment une femme si belle qu’elle put-elle mettre au monde une enfant aussi laide que moi. Était-ce envisageable ? Elle, si belle et ayant conservée une éternelle jeunesse, comment pouvait-elle être mère d’une fillette comme moi ? Je crois que moi-même, je me trouve dans une situation de honte, en resongeant à mon ancienne disgrâce. Mon coeur restait lourd de chagrin, et mes domestiques faisaient toujours en leur possible pour faire renaître un sourire au coin de mes lèvres. Je ne souviens pas être parvenue à attirer sur moi le moindre regard, et jamais je ne pu lire de l’admiration dans les yeux des gens quand ils avaient le culot de me regarder pour ne serait-ce qu’une seconde. Ce que je parvenais à m’attirer, dans la majorité des cas, ce ne pouvait être que des regards emplis de mansuétude, ou peut-être parfois même, un peu trop facétieux. Ma laideur n’était pourtant pas repoussante loin de là. Non, rassurez vous, je pouvais tout de même avoir certains atouts, que d’ailleurs, je détiens toujours à ce jour, mais les nombreux points fastidieux de mon physique empêchaient les gens de les discerner, ces dits avantages. Mes cheveux. Une chevelure blonde comme le blé, qui aussi loin que mes souvenirs puissent me ramener, ont toujours été démesurément longs. Comme pour empirer mon cas en tant que jeune fille éprise de désespoir, se joignit à ça un exécrable appareil dentaire. Oh, je souffrais de cette laideur, et je ne fus pas la seule. Ce que ma mère aurait aimé que je sois belle comme une fleur, attrayante et fraîche Et qui l’eut cru. Qui aurait cru que les souhaits gardés secrets de ma mère puissent se réaliser au grand jour. Qui donc aurait pu être en le pouvoir de deviner que la laide fille que j’étais, pu devenir une jeune femme d’une beauté hors du commun.

Dès que je touchai l’adolescence, je n’eut plus à faire face à tant de préjugés, et ne fut plus jamais la fille laide et repoussante, et encore moins la petite grosse sans ami. Pourquoi? J’étais devenue comme un ange, au grand soulagement et étonnement de tous. Comment était-ce possible? La question qui restait inopportunément sans réponse. Chirurgie esthétique? Non, non voyons, croyez-vous vraiment que je puisse être désespérée à ce point, tout de même. À cet âge, le physique a toujours été l’une des choses les plus regardées, ça va de soi. C’est ce à quoi les gens s’attardent le plus à méditer, et naturellement, ce qui est remarqué en premier lieu. Je vais vous faire une seconde révélation, je n’ai point du mal à m’attirer le regard d’autrui, et tout particulièrement le regard de la gente masculine famélique de femmes à croquer. Je suis dotée de ce que l’on pourrait commodément dénommer un physique des plus avantageux, pour ne pas dire remarquable. Je me sais jolie et pourtant, je ne puis dire que j’en profite à proprement fit. Enfin, voilà un déraisonnable mensonge… Si, j’exploite ma grande beauté, et je le reconnais, j’adore me faire regarder. M’affubler de divers qualificatifs tels que de jolie fille ou encore totale bombe m’est chose très simple à réaliser, d’ailleurs. J’aime qu’on me regarde avec admiration, j’adore qu’on me siffle et qu’on me courtise lors de soirée mondaine. Qui n’aimerait pas cela ? Il est certain qu’attirer les regards sur soi et flatteur et on ne peut plus agréable, et c’est le cas pour tous, sans exception. Ne tentez pas de m dire que vous n’appréciez pas que l’on vous regarde, je saurai que c’est un mensonge. Toute aussi belle au naturel que légèrement maquillée, je puis dire que je me trouve certains complexes gênants qui me tenaillent malgré moi, que je n’arrive aucunement à surmonter et que d’ailleurs je suis bien la seule à percevoir. Mais bon, laissez moi, je vous en prit, me couvrir d’éloges, et contentez vous de m’écouter. Tiens, et si je débutais par mon arme jugée fatale, ma chevelure.

Blonde. & oui, je suis une jolie blonde. Que demander de mieux qu’une jolie tête blonde, demanderez-vous? Mais attention, désillusionnez vous, je ne pourrais être qualifiée de blonde fade et ternie. Ma chevelure ressemblant aux teintes du blé tire légèrement sur le blanc, ce qui ne fait que la rendre encore plus divergente. S’étirant en longueur, mes cheveux, des plus fins d’ailleurs, retombent en cascades dans mon dos, dans une chute aux effluves sucrées et fruitées, des plus enivrantes. Très longs et légèrement ondulés dans une jolie vague naturelle, ils semblent être de soie, d’une grande brillance. Depuis mon tout jeune âge, je sais offrir à mes cheveux un très grand soin, et ce à tous les minimes jours, avec une minutie qui ne pourrait être plus incroyable. Encore aujourd’hui, Elsa Greer, ma servante personnelle, se fait un plaisir de me passer la brosse dans les cheveux. & vous n’auriez pas tort en avançant l’hypothèse que j’adore mes cheveux, et que sans doute est-ce le trait physique que je louange le plus. N’étant pas adulatrice de la bande élastique, je laisse souvent mes cheveux relâchés, ce qui ne fait que les mettre d’avantage en valeur. & non, ce ne vous est pas une nécessité de me dire à quel point vous les enviés, je le sais, tout simplement.

Bien que je sois dotée d’une bouille de gamine, il est rare qu’on m’attribut mes seize ans, je puis même passer pour une jeune femme. Je sais, je suis encore dans une florissante jeunesse, mais ma maturité atteint des sommets, je vous en assure. Allons, je cesse de m’envoyer des fleurs et je vous confie quel est cet atroce complexe qui puis m’habiter. Je suis petite. TROP petite, si vous désirez mon humble avis. Je figure dans la moyenne, mais je ne vais pas vous dissimuler le fait que j’aurais adorer être dotée de jambes démesurément longues et bronzées. Bref, ce n’est pas le cas, et je me dois d’accepter cette anomalie physique. & puis de toute façon, il est connu qu’être de taille moyenne n’est pas non plus que désavantage. Bien sûr, ce trait a bel et bien des bons côtés, si je puis me le permettre. Tenez, dans les boutiques, les petites tailles ont toujours été largement plus avantageuses lorsque vient le temps de faire un peu d’emplettes, car les petits vêtements ne sont-ils pas toujours beaucoup plus adorables ? Certes, c’est le cas. Végétarienne endurcie, je ne consomme a-u-c-u-n-e viande, en aucun cas, et ne tentez pas de me faire ingurgiter une once de chair, vous n’y parviendriez nullement ! C’est sans doute de là que me vient mon teint pâle, ainsi que ma corpulence presque parfaite. Un repas constitué de légumes et de noix ne me fera pas gagner du poids, loin de là! Bien que ma mère tente tant bien que mal de m’habituer au mode de vie carnivore, jamais je ne m’y résignerai ! Oh et, j’ai des tendances boulimiques, mais c’est un secret qui ne doit être révélé au grand jour. Je sais, j’ai des formes que trop bien dessinées, que tous envient, et ma délicatesse sort du commun. Ah je sais ce que vous devez penser. Bordel, pourquoi est-elle si parfaite ?

L’élégance dont je fais preuve est bien démontrée par les traits fins et délectables de mon visage ovale et pâle, légèrement rosé. C’est sans doute aussi du à mes traits et à mes airs d’ange qu’on s’imagine que je suis érudite et d’une grande sagesse. Mes grands yeux bleu vert pratiquement turquoise, sont pairs et varient de teintes selon l’humeur qui s’éprendra de moi. J’ai d’ailleurs les yeux de lord Dashawn, père. Ils sont légèrement brillants, comme si une lueur y était constamment présente. Mon regard est pétillant de malice et de bonheur, ce qui démontre pleinement la joie de vivre qui a coutume de m’habiter. Mes longs cils ont toujours donné à mon regard un air doux, mais à la fois pénétrant, mais sans aucun doute, très séduisant. Moi séduisante ? Ceci puisse-t-il vous étonner ? Lire en moi comme dans un livre ouvert n’est pas tâche bien complexe, tel Elsa me la bien souvent fait remarquer, compte tenu que dans mon regard peut se lire absolument toutes les émotions que ressens et ce, avec une exagération accrue. D’ailleurs, mes expressions faciales ont toujours eut le don trahir mes sentiments, à mon plus grand désarroi, j’en conviens. Mon regard est des plus enjoliveur, mais aussi ô tellement hypnotique, et je sais qu’il est tellement simple d’obnubiler quiconque qui ose croiser mon regard.

& oui, je sais que je suis belle et merveilleuse. Tous les regards qui se tournent vers moi sont aptes à vous rendre jalouses & je sais que vous me détester tellement pour ça. Mais rassurez vous, je ne vous aime pas non plus. Narcissique, moi ? J’en concède. Superficielle, peut-être un peu. ,,

Invité

>> My Beautiful Story. {4}
SUITE
Caractère :

« Je suis belle, je suis riche, je suis populaire et vous m’aimez. »
Attitude on ne peut plus superficielle, avancerez-vous? Oui, sans doute avez-vous entièrement raison sur ce point, je vous l’accorde. Mais comment puis-je m’empêcher de simplement répandre la toute vérité autour de moi. Comme si vous n’aviez pas déjà remarqué qu’il s’avère que je sois d’une beauté irrationnelle, d’une richesse incomparable, et d’une popularité qui atteint des sommets. Vous le savez. Am I right? Je sais que je vous semble être une jeune femme aux comportements on ne peut plus altiers et je ne vais pas démentir ces faits, mais je vous assure que je puis être jeune femme très étonnante et même fidèle. Je sais que mon irréprochable et impeccable sarcasme et cynisme vous met parfois dans une situation d’inconfort flagrant, mais je ne suis pas pour autant une fille méchante, garder bien cela en tête… NON, je ne suis aucunement imprégnée d’une méchanceté cruelle. J’aime les gens, et j’aime être entourée. Bien entourée, tout de même, ne vous faites pas d’illusions. D’accord, je vous l’accorde, je puis être un peu trop franche. La franchise peut s’avérer à être à la fois un défaut, ou bien une qualité, je le sais très bien. Dans mon cas, je n’ai pas honte de l’avouer, c’est un véritable défaut! Je sais ce que vous vous dites : Cette fille siiiii parfaite a vraiment des défauts? & Oui! Et je le reconnais en plus! Ne voyez-vous pas là une grande amélioration de ma part? Est-ce que je me résume à réfléchir avant de parler? Non, naturellement pas! Je dis absolument tout ce que je pense et jamais je ne vais se soucier de l’impact qu’auront mes dires. Mauvais, vous avez dit mauvais? La franchise peut s’avérer chose bien, dans certains cas, bien sur et vous le savez autant que moi! De cette façon, les gens de mon entourage peuvent savoir ce que je pense d’eux, sans détournement. Merveilleux, non? Mais est-ce vraiment bien?! Je ne me priverai pas pour vous faire savoir que je vous déteste, ou que je trouve votre style totalement ringard. –OH MoN DieU! Ce que ça arrive TROOOOP Souvent? C’est siiiii dur de se vêtir convenablement?- Réfléchir avant d’agir? Connais pas! Et avant de parler? Vous rêvez, mes chéries! Je sais que je puis être jeune fille complètement insupportable, mais sachez que je puis être une vraie fleur, dans mes bons moments. Moments rares, je l’avoue. Tenez, je suis une fille très souriante! Une qualité en plus, & que vous m’enviée tellement!& oui, j’ai beau être une garce de service, je reste tout de même une jeune femme très souriante, oui oui. On remarque bien vite que je suis dotée de l’un de ces sourires irrésistibles, et plutôt communicatif, pour ne pas dire contagieux. Il est très probable que vous soyez porter à rire, ou encore à sourire, lorsque j’en fais autant, car lorsque je le fais, c’est de façon assez …démonstrative [?]. Souriante en compagnie de mes amies, c’est aussi le cas lors des moments où je me la joue les enjôleuses. [OoOhh La coquine que je suis… ] Mon sourire est des plus ensorceleurs, et est en fait l’une de mes armes pour m’accaparer de mecs. Bien qu’il soit magnifique, mon sourire peut parfois s’avérer sarcastique, ce qui ne révèle rien de bon… Mais attention! Mon sourire si innocent peut parfois être faux, et c’est de cette façon que j’adore manipuler. Chut! Cacher la peste que je suis derrière un sourire angélique, simple comme un jeu d’enfant! Rester sur vos gardes!

Principales Qualités : Intelligente )) Souriante )) Fidèle
__________________ Assurée )) Étonnante )) Extravertie

Principaux Défauts : Superficielle )) Altière )) Sensible ))
___________________ Franche )) Pessimiste )) Calculatrice

>> Behind the Screen. {5}

Surnom : Bee ou B.
Âge : Sixteen almost Seventeen.
Niveau de Connexion : Tous les jours.
Code : CODE OK EDITE BY LOHE'.

OMG : La présentation de Ouf =) O.O
En tout cas, bonne continuation Miss!

+ Wilkommen !
Woaaa la presentation !

Edit* : Impossible que tu sois de signe vierge si tu es née aprés le 22 Septembre !!

Invité

Merci (= <3
Je ne devrais pas tarder à tout terminer (;

& Merci de la Remarque November Wink

C'est une petite erreur de ma part =P J'étais certaine que c'était du 22 Septembre au 21 Octobre.. (=

+ Okii !
Ben de rien, c'est parce que je suis vierge x] !

Tu dois avoir, genre 20 de moyenne en Français, heiN ?!! Sache que tu es validée à l'avance ^^

Invité

Je suis première de classe x) Rolling Eyes

~~Fait preuve de Modestie~~ tongue

Merci Beaucoup <3 <3

+ Je pense que tu as finnis, wilkommen (re) !

Valiiiide ^^ !

Oublie pas tes demandes ^^

Invité

Merci <3
Je n'avais pas complètement terminé le Caractère,
mais disons que c'est suffisant (=
Bref, Merci encore =]
Je file faire mes demandes

+ ah j'avais pas remarquer =S !

Bon jeu miss ^^