Liam Andersen Test ( Finish?)

Et voila. On était lundi et une nouvelle semaine commençait au pensionnat de Waverly, situé à Los Angeles. Le soleil de Californie était déja haut dans le ciel d'une couleur azur, et brillait de mille rayons...

et semblait enveloppé d'un halo mystérieux les étudiants de Waverly Boarding School. Tout le monde à une image de bonheur bien précise de ce que l'adolescence parfaite devrait être. Eh bien, si un simple et ordinaire ado jettait un oeil à l'intérieur des enceintes de Waverly il penserait immédiatement que tout y est parfait. Et cet ado aurait envie de toutes ses forces de faire partie de ce semblant de perfection juste le temps d'un instant

Toutes les filles semblaient belles, élancées, possèdaient des courbes à en faire rougir plus d'un et une chevelure qui revient éternellement de chez le coiffeur. Chaque garçons paraissait être tout droit sorti des podiums de Milan mais avec des airs de futur richard de Wall Street. Produits et marques de luxe , tout le monde en avait à profusion mais tout étaient étaler sans excès. Tous et toutes avaientt un je-ne-sais-quoi,une certaine grâce, une élégance innée. Ils semblaient tous s'entendrent si bien, chaque couple avait l'air de s'aimer si fort, chaque poignée de main et chaque accolade avait l'air si franche et honnête. Chacun avait sa place dans cet établissement tout simplement.

Voici un le tableau idyllique que dressait un simple ado californien qui apercevait Waverly à travers les grilles de l'entrée. Mais le proverbe,
« il ne faut jamais se fier aux apparences» n'a jamais aussi bien représenter Waverly ainsi que ses pensionnaires. Les jeunes filles aux corps de déesse, ne cahaient pas si bien quelques kilos en trop de certaines car les rumeurs courant sur les infidélités de son petit ami la stressait au plus au point. Leurs cheveux de stars,devenaient parfois grichous,illustrant les dégâts d'un nouveau fixatif donné en cadeau par une «amie». Les garçons aux corps d'Andrew Cooper, avaient plus l'air de celui de Peter Dogherty, la cause étant peut-être que «le stuff» était consommé un peu trop souvent. Leurs semblant airs de futur homme d'affaires paraissaient plus comme des mines de gosses gâtés pourries. Les roméo et les juliette qui s'aimaient à la folie, ne s'aimaient pas tant que ça finalment. Étant donné que le roméo ou la juliette envoyait des baisers soufflés au meilleur(e) ami(e) du tendre aimé. Les poignées de mains de franches n'étaient que des facades pour cacher la prochaine la trahison qu'ils infligeraient à leur meilleur ami. Maintes mines heureuses, avaient l'air de vouloir d'échapper à cet environnement, et d'autres avaient l'air de vouloir en pousser quelques uns en dehors. Plus d'un voulaient plus que leur place à Waverly, ils voulaient la place d'un autre. Alors tout les coups étaient permis pour se l'approprier.

Waverly était loin de la perfection même si à bien des égards elle l'était pour certains..